mardi 30 décembre 2008
ACTRICE DE COMPLEMENT dans Rien de Personnel avec Jean-Pierre Darroussin, Zabou Breitman de Mathias Gokalp.
J-.P Daroussin: Bonjour Mademoiselle. Vous allez bien? Vous êtes là tous les jours sur le tournage?

Ernesto Tito Puentes - L'Atelier à Spectacle de Vernouillet en Décembre 2008.
Louise Michel de Gustave Kerven et Benoit Delépine.
Au 17éme Festival de Vendôme en présence de Gustave Kerven.
Ce film génial, j'ai eu de la chance de voir au Festival du Film de Vendôme en présence de Gustave Kerven. Le film est plus fort que le détail. Les réalisateurs ce sont inspiré du personnage de Louise Michel.
Gustave Kerven, nous a racontait que Yolande Moreau avait trouvé son personnage à travers de sa démarche, bourru. Elle déteste qu'on lui donne le personnage psychologique. Elle le trouve elle même.
Dans ce film tout les gens sont perdus. On ne sait plus quoi faire. On est perdu. On ne sait plus à quel patron appartient l'entreprise.
A chaque fois que je pense à ce film, c'est le magnifique duo Yolande Moreau et Bouli Lanners qui me vient en tête. Sacré performance. Ces acteurs sont vraiment hallucinants. J'ai passé un excellent moment et j'ai bien rigolé.
On s'indigne tout les jours sur ce qui se passe. Notre indignation devient ridicule. On ferme les yeux sur l'indignation.
Un excellent moment de cinéma.
Un film a ne pas rater au cinéma le 24 Décembre 2008, en Salle.
" En abordant la conception d'un rôle-même s'il s'agit de faire rire à l'arrivée, je ne pars jamais en me disant: cette réplique va faire rire. Je recherche le ton juste, avant tout". Yolande Moreau
dimanche 30 novembre 2008
mardi 30 septembre 2008
Entre Les Murs, un film de Laurent Cantet au Delta de Dreux.
Rencontre de Catherine Frot à la Source le 13 Septembre 2008 .
J'ai pu discuter avec elle sur le métier artistique et c'est une personne naturelle, compréhensible, de très gentille et franche. Elle était de très bon conseils.
Gustave Parking à la Salle des Fêtes de Vernouillet (28) -Le 12 septembre 2008 (20h30)
Des moments inoubliables de rigolades. Deux heures de spectacle d'enrichissement. C'est un super spectacle, Gustave Parking est un vrai poète, un vrai artiste.
Un spectacle décapant.
dimanche 31 août 2008
« Versailles » de Pierre Schoeller au MK2 de Paris. Mardi 19 Août 2008.
Nina vit la galère à Paris, avec son fils Enzo.
Enzo a cinq ans. L’enfant ne parle pas et toute son expression passe par son regard, mais quel regard ! Quelquefois, il sourit, mais quel sourire ! Il fait penser aux enfants des films muets.
La mère et son enfant dorment le plus souvent dehors. Le film montre très bien cette errance, et l’habitude de l’enfant à dormir n’importe où, n’importe comment. C’est poignant. On sent aussi la souffrance de Nina et son épuisement.
Cette errance les conduit à Versailles, dans les bois, tout près du château. C’est là qu’ils rencontrent Damien (Guillaume Depardieu) qui vit retranché dans une cabane. Guillaume, c’est un marginal, une sorte d’ermite qui n’attend plus rien de la société, qui ne veut plus rien avoir à faire avec elle. Ces deux êtres au bout du rouleau font l’amour dans cette cabane, puis Nina laisse l’enfant et disparaît. Peu à peu, au fil des jours, du temps, des saisons, l’homme et l’enfant vont s’apprivoiser et s’attacher l’un à l’autre, s’appuyer l’un sur l’autre et ensemble retrouver la force d’affronter le monde.
C’est à ce moment là que vous pouvez me voir : au moment où Damien va reconnaitre Enzo à la mairie. L’employée de mairie en rouge, c’est moi…
dimanche 27 juillet 2008
samedi 28 juin 2008
dimanche 18 mai 2008
Versailles de Pierre Schoeller avec Guillaume Depardieu, Judith Chemla, Max Baissette de Malglaive
Paris, aujourd'hui. Un enfant et sa jeune mère dorment dehors. Nina est sans emploi, ni attaches. Enzo a 5 ans. Leur errance les conduit à Versailles. Dans les bois, tout près du château, un homme vit dans une cabane, retranché de tout. Damien. Nina passe une nuit avec lui. Au petit matin, Nina laisse l'enfant et disparaît. À son réveil, Damien découvre Enzo, seul. Au fil des jours, des saisons, l'homme et l'enfant vont se découvrir, s'apprivoiser, s'attacher. Leur lien sera aussi fort que leur dénuement. Un jour pourtant il faudra quitter la cabane...
vendredi 16 mai 2008
Rose-Esther au Théâtre Marigny lors de notre représentation théâtrale le lundi 7 Avril 2008 .
Griselda dans Top Girls de Caryl Churchill (extrait).
La douce Griselda: femme soumise dont il est question dans un conte de Canterbury
Le 14 Janvier 2008 lors de 20 ans de Marion Durand au Conservatoire d'art dramatique Erik Satie au 7éme.
lundi 14 avril 2008
Emily Loizeau / Barbara Carlotti en 1ère partie à l'Atelier à Spectacle de Vernouillet (28)
C'est dès l'âge de 6 ans que cette jolie trentenaire s'immerge dans la musique en apprenant le piano « je me destinais à une carrière de pianiste classique. Dès l'âge de 13 ans, j'allais à l'école le matin et au conservatoire l'après-midi. C'était beaucoup de travail et de pression… A 20 ans, j'ai tout plaqué et je me suis orientée vers le théâtre et la mise en scène… Et puis petit à petit, en ressentant le désir d'écrire des chansons, ma vieille passion est revenue ! »
C'est donc derrière son piano, entourée d'un violoncelliste et d'un batteur qu'Emily Loizeau dévoile sur scène ses chansons délicates, poétiques, piquantes à l'humour subtil. Forcement influencée par la musique classique mais aussi par des sonorités plus actuelles, comme la pop et le folk, et par ses origines anglo-française, elle mêle dans son répertoire des chansons en français et en anglais avec des influences allant de Brel, Barbara, Souchon, Gainsbourg, Higelin à Robert Johnson, Nina Simone, Bob Dylan ou Tom Waits.
Entre mélancolie et folie très douce, elle tisse une toile délicate sur laquelle s'égarent des rêves de femmes, des espiègleries d'enfants, des désirs, des faiblesses, des rencontres… Elle croque des tranches de vie inspirées notamment des thèmes de l'enfance et de la mort. L'autre bout du monde c'est le seul endroit où l'on peut rencontrer des choses qui n'existent pas ou qui n'existent plus. C'est un peu mon pays des merveilles à moi..
Ses textes touchants s'accordent avec un grain de voix très country quand elle chante en anglais, et très sensuelle quand elle se met à caresser la langue de Molière. Son timbre aérien, parfaitement maîtrisée, semble se jouer avec bonheur de toutes les difficultés…
Une vraie « découverte » pour tous les amoureux de la chanson !
Emily Loizeau : piano / voix
Cyril Aveque : batterie
Olivier Koundouno : violoncelle
1ère partie
BARBARA CARLOTTI
Avec les chansons élégantes et mélancoliques de son premier album Les Lys Brisés, Barbara Carlotti a infusé un peu de fragilité dans la pop française et distille des chansons sentimentales et suaves, des comptines pop teintées d'ironie fine. Tendresses, franchises, bribes de récit, confidences à mi-voix évoluent dans un environnement musical sophistiqué, rehaussé çà et là de petits sons précis et discrets comme sortis du quotidien…
Une langue, une voix et un regard qui prennent déjà une belle place dans le paysage français…
Barbara Carlotti : voix
Jean-Pierre Petit : guitare
Benjamin Esdraffo : claviers
Sébastien Hoog : basse
Franck Mbouéké : batterie
Olivier Hoste : son
Myriam Chiaramonti : manager.
Gianluca & Massimiliano DE SERIO au Festival du film de Vendôme 2007.
Mio fratello Yang et Zakaria ont respectivement obtenu le prix spécial du jury au festival de Vendôme 2004 et le prix de la jeunesse en 2006.
Salomé STEVENIN: LE PRIX D’INTERPRETATION lors de la soirée de clôture au Festival du film de Vendôme 2007.
Salomé Stévenin pour
Tel père, telle fille de Sylvie Ballyot
Réalisé avec le soutien de : Conseil régional de Provence-Alpes Côte d'Azur, Conseil régional de Languedoc-Roussillon et Conseil général de Seine-St-Denis.
http://www.vendome-filmfest.com/
Vive la France de Serge Bozon au Festival du film de Vendôme 2007
La France
Comment filmer ceux qui se sont perdus dans l’ombre de la victoire ?
Vous êtes vous déjà posé cette question ? Un film de guerre qui passe ce soir au cinéma. Pourquoi ne pas aller le voir et une fois installé, vous vous attendez à voir des cadavres, des blessés, du sang, des gémissements, du sang qui gicle…
Mais, une fois, assis dans cette salle obscure. C’est la surprise et vous n’en croyez pas vos yeux.
Vous vous retrouvez devant un film qui marque l’esprit, des chanteurs en live, des instruments hétéroclites, des chansons qui font vibrer nos cœurs, nos membres. Nous voyageons aux travers des beaux paysages et c’est important parce que ce film se passe intégralement à l’extérieur.
Nous nous projetons aussi dans des claires obscures magnifiques. C’est comme au théâtre, il y a un seul point de vue : frontal. Les paysages sont films sur un seul axe donc cela donne l’impression de voir des acteurs qui sont sur une toile peinte. Ce qui paraît théâtral, ce ceux qui permet à l’acteur de prendre son élan.
Dans ce film, il ya des registres d’acteurs très différents- Des acteurs professionnels et amateurs.
Ce film de guerre en absence de la guerre et d’amour en absence d’amour.
Vous pouvez ressentir une sorte de ressentiment, d’amertume et de regret. Ce film, joue pas mal sur des glissements comme la vedette qui se fait passer pour iun homme et les soldats pour non déserteurs.
La France, un film de Serge Bozon.
mercredi 2 avril 2008
"TEZIN": Prix de la Meilleure Oeuvre Originale au 12éme Rencontres du Jeune Théâtre à Savigny-sur-Orge.
Rose-Esther au Théâtre Marigny le lundi 7 Avril 2008 à 20h15.
Je vous invite au spectacle de ma classe du Conservatoire d’Art Dramatique Erik Satie,
Le lundi 7 avril 2008 à 20 h 15
L’entrée est libre

Le théâtre de Marigny se trouve au Carré Marigny, avenue Marigny 75008 PARIS, tout près du Rond Point des Champs Elysées.
Accès, métro : Champs-Elysées Clémenceau, Franklin Roosevelt
Je joue dans deux pièces, deux rôles très différents.
En espérant vous voir, je vous embrasse,
Rose
mardi 1 avril 2008
mardi 18 mars 2008
Ma création "Tézin" à SAvigny sur-Orge le vendredi 28 Mars 2008 à 20h30.
TEZIN:
Conte Haïtien, que j’ai retranscrit à partir de ma mémoire, l’un des plus célébres contes d’Haïti qu’on me racontait enfant: en allant puisser de l’eau à la rivière, Mélina rencontre le poisson Tézin...
12ème RENCONTRE DU JEUNE THEATRE (avec le soutien de la SACD) Vendredi 28 mars à 20h30, à la Salle des Fêtes
Plusieurs pièces de théâtre ou extraits vous seront présentées tout au long de ces deux jours. Du monologue à l’humour, du classique au contemporain, ces jeunes comédiens issus pour la plupart des grandes écoles du théâtre, vous feront partager leur passion et voyager à travers leurs oeuvres ou celles d’un auteur reconnu. Un bulletin de vote vous sera remis afin que vous remettiez un prix à la troupe ou au comédien que vous aurez trouvé le plus talentueux.
Réservations à partir du samedi 22 mars auprès du service culturel – Tél. : 01 69 54 40 70 Tarif unique : 7 euros
vendredi 7 mars 2008
LA CONJURATION DES IMBECILES.
D’après l’œuvre de John Kennedy Toole
Le 19 octobre, j’ai été la première personne à être invitée pour voir un passage de la pièce «
Embauche aux pantalons Levy.
M. Gonzales, Miss Trisie, Ignatius, Gus Levy.
Le bureau de l’usine Levy. M. Gonzales, un petit bonhomme tiré à quatre épingles. Miss Trisie, une vieille demoiselle, porte un sac en papier rempli d’un assortiment de morceaux d’étoffes et de bouts de ficelles.
Au moment où je suis entrée dans le séchoir de l’atelier à Spectacle les acteurs faisaient une italienne, tout en préparant la scène : des branchements de câbles, une personne qui tourne en rond, une assise les jambes croisées et qui semble en réflexion, une qui tourne des pages et des pages et pour finir, une qui cherche quelque chose dans les costumes.
Côté cour, une balançoire et au milieu de la scène des écrans blancs, des personnages complètement délirants commencent à jouer, un petit coup dans le micro, des personnes entre les écrans, on dirait qui jouent à cache-cache.
C’était un monde absolument hors du commun, la découverte de l’espace, l’ambiance…Je ne peux pas vous les décrire, il faudra venir voir des vos propres yeux. C’est une pièce à ne pas rater. Et bienvenue dans un univers complètement délirant : humour.
Quinze jours plus tard, je suis retournée voir l’équipe d’Aurachrome et c’était leur denier jour de résidence. Je n’en revenais pas. Ça n’avait rien à voir par rapport à la première fois.
C’est un mélange de comédie, de danse et de musique.
Il faut absolument voir «
Le peu que j’ai vu, c’était tellement surprenant que j’ai couru acheter le livre.
A ne pas rater
Vous les retrouverez à l’atelier à Spectacle de Vernouillet (28) le 13 et 14 Mars 2008.