jeudi 28 juillet 2011

Tézin à la Bibliothèque de Vendôme (Parc Ronsard)_Du 18 au 31juillet 2011.

Une exposition de photos de conteurs
"EPOS, le festival qui conte..."
Par Gilles Juhel

EPOS 2011_Une exposition de photos de conteurs "EPOS, le festival qui conte..." à la Bibliothèque de Vendôme (Parc Ronsard) Du 18 au 31juillet 2011.

EPOS 2011 Vendôme

du 25 au 31 juillet 2011.

le lien vers le site du Clio: http://www.clio.org/-Programmation-.html

Et aussi ...

Du 18 au 31juillet 2011

Une exposition de photos de conteurs

"EPOS, le festival qui conte..."

à la Bibliothèque de Vendôme (Parc Ronsard)



Depuis 2008, Gilles Juhel est l'oeil d'EPOS.

Il s'attache à témoigner des gestes, des visages, des regards du conteur lors de sa performance.
...
Clio

Quelques photos de la Famille Semianyki



Semianyki (La Famille) au Théâtre du Rond Point

Semianyki raconte les déboires d’une famille particulièrement déjantée, qui tente de survivre dans une Russie déglinguée. Sans jamais prononcer un mot, avec une formidable inventivité burlesque, la troupe dessine un monde où l’absurde est roi, mais où la magie est toujours prête à renaître. Ces clowns savent toucher la part d’enfance de chacun tout en portant un regard corrosif sur une réalité sociale. Fabienne Darge – Le Monde
Sans prononcer un mot, ces six énergumènes aux tronches pas tristes nous entraînent dans leur invraisemblable bric-à-brac. Ils s’y font des blagues des plus cruelles, s’adorent et s’entre-tuent, survivent avec une insolence toujours en éveil. Et sur un rythme halluciné, ils nous prouvent par leurs gags gros comme ça, leurs mimiques délirantes que le rire reste sans doute la meilleure arme, partout et toujours, de toutes les résistances. Fabienne Pascaud – Télérama
Il règne ici un mélange de la commedia dell’arte, de burlesque à l’anglaise, de mime à la française et d’art légendaire du clown populaire russe qui baigne le tout d’une grande bouffonnerie à la slave. Rire, colère, émotion. Marion Thébaud – Le Figaro
Cette famille-là renvoie les Adams au bac à sable. Sans un mot avec un imaginaire débridé et un sens de la gestuelle à la mécanique redoutable. Dans un décor à michemin entre le bric-à-brac de grenier et la foire de quincaillerie, chaque objet est une menace en puissance et les situations les plus anodines deviennent des cauchemars délirants. C’est hilarant. Charlotte Lipinska – 20 Minutes
Cette famille totalement hors normes, qui assume et vit pleinement ses fantasmes, est aussi formidablement unie, aimante et fait souffler un vent de fraîcheur. La découvrir c’est l’adopter en bloc, illico. Annie Chénieux – Journal du dimanche