mercredi 28 novembre 2007

La Source: quelques photos.

Jean Michel Ribes à la Source

Samedi 15 Octobre 2007

C’est une association qui est née de la rencontre entre Gérard Garouste, peintre-sculpteur et Christian Gotti, éducateur spécialisé qui désespérait de l’efficacité de son métier. Ensembles, ils ont fait le pari d’associer l'art, l'action sociale et l'éducation pour venir en aide aux enfants les plus défavorisés.



Des artistes qui sont invités en résidence à La Source. Ils ont ainsi la possibilité de développer leur travail personnel et en échange, ils participent à des actions d'éveil à la créativité et d'éducation artistique auprès d'enfants et d'adolescents.
http://www.associationlasource.fr/presentation.html

Chaque année depuis sa création, la Source organise une exposition des œuvres réalisées par les jeunes et les artistes. Chaque année l’exposition est parrainée par un artiste (Gérard Depardieu, Catherine Deneuve, Pierre Arditti… ont étés parrains). Cette année c’était Jean Michel Ribes qui y inaugurait en même temps la création d’un théâtre.

Jean Miches Ribes et Gérard Garouste

mardi 27 novembre 2007

Chacun son tour: quelques photos.





Chacun son tour: "Cyrz, Mick est tout seul, H-Burns"



Vendredi 19 Octobre 2007

Chanson
Chacun son tour
"Cyrz, Mick est tout seul, H-Burns"
Vendredi 19 Octobre 2007 / 21h
Une soirée placée sous le signe de la diversité ! C'est chacun leur tour que les trois chanteurs vont investir la scène de l'Atelier, seul et à la guitare. Trois artistes, trois univers, et trois bonnes raisons de venir !

Cyrz
On disait de Jerry Lee Lewis, pyromane du piano rock n' roll : « sa main droite est blanche et sa main gauche est noire », on peut dire des mains de Cyrz que celle qui tient le stylo est française quand celle qui empoigne le manche de guitare est américaine ! Entre verbe mélancolique et western mélodique, Un morceau de mon avenir, son premier album, résume les douze années que Cyrz a passées dans sa chambre à écrire des chansons (plus de 300 !) Autour des doutes et petits débris de la vie, l'exilé de Montéléger – “le plus beau village du monde”, au cœur de la Drôme – brode de jolies chansons douces-amères au style acéré, aux mots simples, à la poésie espiègle et insouciante. Le tout avec la gravité virevoltante des optimistes lucides !Une promenade introspective à laquelle il est difficile de ne pas se joindre, tant les thèmes évoqués caressent le familier…
Mick est tout seul
Créateur et leader du groupe de rock français Mickey 3D, Mickaël Furnon s'offre ici une parenthèse solo en sortant « Les Chansons perdues », sous le nom de « Mick est tout seul ». Entre deux disques de Mickey 3D, il y a toujours des chansons qui se perdent car j'en écris beaucoup ! On ne peut pas toutes les enregistrer et certaines ne plaisent pas au groupe. Mais celles-là, j'y tenais et je voulais leur donner vie… Comme elles sont liées à des sentiments personnels, l'envie de les chanter seul m'est venu. Musicalement, il n'y a pas trop de différence, mais coté texte, je suis plus dans le sentiment, le voyage intérieur, la poésie... A découvrir donc un Mickey plus intime, plus nostalgique…
H-Burns
H-burns sera là touche américaine de la soirée ! Malgré ses origines rhonesque, Renaud Brustlein de son vrai nom chante en anglais et semble sorti tout droit d'un village perdu de l'Oklahoma ! Ses ballades rugueuses à la guitare déliée, chantant l'esprit des routes et des voies ferrées, concentrent quarante années de musique acoustique nord-américaine, de Johnny Cash à Jason Molina…H-Burns : une bonne nouvelle pour le folk « français » !

Liens web :


Mick est tout seul : http://www.myspace.com/mickesttoutseul
H-Burns : http://www.myspace.com/hburnsmusic
Cyrz : http://www.myspace.com/cyrzmusic

Je n’ai pas vu le spectacle mais j’ai passé beaucoup de temps avec le groupe et c’était vraiment très sympathique et très enrichissant. Ils sont vraiment délirants les uns et les autres. Quelques photos souvenirs qu’ils ont pris avec mon appareil, un peu ratées mais c’est déjà ça. Bob Vincent a enlevé son tee-shirt « Canada old navy 2005 » et comme une grande vedette il me l’a donné en cadeau. Un CD dédicacé par H.Burns…Super soirée quoi.
Et pour couronner le tout j’ai été appelée sur scène par Cyrz.

Voilà l’histoire :
Est-ce qu’il y a des garçons timides dans la salle ?
Pas de réaction du public
Est-ce que les voisins peuvent dénoncer leurs voisins
Pas plus de réaction…
Donc, est ce qu’on peut me ramener Rose-Esther sur scène qui est au conservatoire de Théâtre et qui fais partie de l’accueil.

Apparemment c’était pour mimer une chanson.

Ils sont trouvé le public attentif et réceptif.

CARTE BLANCHE A JEAN- CLAUDE GALLOTTA.

Jeudi 18 octobre 2007

Ce soir je me retrouve au 51 Rue de Bercy , à la cinémathèque Française pour voir carte blanche à Jean-Claude Gallotta (paris 75). Nous avons vu des extraits de captations de spectacles depuis la naissance de la compagnie ( la danse du solstice d’été où les danseurs s’étaient relayés, du lever au coucher du soleil, sur une colline près de Grenoble, Ulysse, Daphnis et Chloé…) et Mammame, remis en scène par Claude Mouriéras dans la gare de l’Est à Paris sous le titre « un chant presque éteint » , puis par Raoul Ruiz. On a voyagé parmi ses œuvres et aussi avec lui, puisqu’il a fait un carnet de voyage filmé pendant la tournée de sa compagnie, le Groupe Emile Dubois dans les pays de l’Est. La musique nous emporte, les images sont magiques et magnifiques, nous voyageons en Serbie, en Roumanie et en Tchéquie et avec lui, nous dansons un peu partout en faisant de belles rencontres avec ces autres cultures. Les danseurs investissent la grande salle de danse de l’immense palais de Ceausescu où l’on y danse pour la première fois. Il y a aussi cette improvisation de danse parmi les sculptures monumentales du musée en plein air des statues de l’ère communiste. Et pour pimenter tout ça, il y a eu une petite dédicace pour Jean-Claude et Mathilde et c’était vraiment très drôle : un extrait d’un film de chorégraphies d’oiseaux dans leur univers naturel et sauvage. C’était étonnant la ressemblance entre ces oiseaux- danseurs et la danse de Jean-Claude.

CARTE BLANCHE A JEAN-CLAUDE GALLOTTA

Le résumé :

Venu des Beaux-Arts, Jean-Claude Gallotta voyage à New York en 1978, où il découvre le travail de Merce Cunningham. À son retour, il fonde avec Mathilde Altaraz le Groupe Emile-Dubois, qui s'insère en 1981 dans la Maison de la Culture de Grenoble. Il y crée Ulysse, chorégraphie ludique qui joue avec les vocabulaires classique et contemporain. Quatre ans plus tard, Gallotta invente le personnage de Mammame dans un ballet éponyme qui deviendra plus tard un film signé Raoul Ruiz. Mammame constitue jusqu'aujourd'hui le fil rouge d'une ?œuvre où la dimension sonore est importante : avec son air perdu, son déplacement gauche et ses onomatopées, Mammame rythme les élucubrations spatiales de danseurs qui peinent à établir un rapport harmonieux à l'espace ou entre eux.

Dès le début des années 1980, Jean-Claude Gallotta prend soin de faire filmer ses spectacles (Daphnis et Chloé, Les Louves...), le plus souvent par Claude Mouriéras, lequel réalise également des films en plein air où le groupe Emile-Dubois figure le mal-être contemporain du corps en milieu urbain (Ils vivaient dans les villes, Un chant presque éteint...). En 1990, Gallotta signe lui-même son premier long métrage, Rei Dom ou la légende des Kreuls, qui sera suivi de plusieurs carnets de voyage filmés.

Dans ses créations plus récentes, le chorégraphe continue d'organiser la confrontation de la danse et de l'ordinarité (Des gens qui dansent, 2006, avec des danseurs amateurs), et de développer un rapport filmique à l'espace dansé : Mammame à l'Est (2003), Trépidantes du patrimoine (réalisé par Gallotta, 2004), Des gens qui dansent au Louvre (2006, captation par La Cinémathèque de la Danse). A l'occasion de la représentation à Paris de sa dernière création Cher Ulysse (Théâtre national de Chaillot, du 12 au 17 octobre 2007), La Cinémathèque de la Danse invite Jean-Claude Gallotta à présenter son œuvre le temps d'une séance de cinéma.

Invités à la première de Cher Ulysse.

C’est la première fois que je voyais Ulysse. Je sais qu’il a été crée en 1981, avant ma naissance. Je sais que beaucoup de gens l’ont découvert pour la première fois au théâtre antique d’Arles, en juillet cette année-là. C'était un lieu magique pour une pièce magique toute blanche. Je sais qu'il y avait une dinde sur la scène...Après, Jean-Claude est devenu l’une des figures de proue de la jeune danse contemporaine et son Ulysse a voyagé dans le monde entier. En 1984, il faisait une escale dans la cour d'honneur du Palais des Papes...avec la sirène toute ruisselante de mer... et enfin, en 93, je crois que c'était la dernière représentation de cette première version, sur la scène de Châteauvallon, avec la mer pour fond de scène.

En 1995, il y a eu cette nouvelle version pour l'Opéra Bastille, avec beaucoup plus de danseurs (le corps de ballet de l’opéra de Paris avec Patrick Dupont et Marie-Claude Pietragalla), avec un autre nom, les variations d’Ulysse, une autre musique et toujours le blanc.

A Chaillot, le 13 octobre 2007, Cher Ulysse n’est pas tout à fait le même, ni tout à fait un autre… Dans sa note d’intention Jean-Claude écrit : « parce qu’en un quart de siècle, le monde a tourné dix mille fois sur lui-même, et pas toujours rond, et souvent ivre de ses propres abjections. La danse ne peut plus y répondre par sa seule beauté, par sa seule innocence »
Il dit aussi du personnage qu’il est «devenu Bloom, le Juif errant de Joyce», et s’adressant à lui dans une missive, il poursuit : «Tu es un Ulysse urbanisé dans les soubassements de la grisaille d’Homère, ton drapeau blanc est levé comme un dernier sourire, j’allais écrire soupir.»

Ulysse n’est plus le jeune homme plein d’espoir qui se lançait à la découverte du monde prêt à larguer toutes les amarres. Sur la scène, le décor blanc est affalé comme les voiles d’un bateau désenchanté, il laisse voir le fond de scène noir, le gris et le noir apparaissent aussi dans les costumes. Une musique électronique, celle du groupe Stringall accompagne ce nouveau voyage.

Vers la fin, Jean-Claude entre sur la scène et annonce dans un porte-voix : « la mélancolie ne passera pas ».

D’accord Jean-Claude, ne laissons pas passer la mélancolie, résistons à toutes ces sirènes qui nous chantent les mérites de l’économie, du fric, du faire comme tout le monde, d’être raisonnable. Suivons nos rêves, écoutons nos utopies, réalisons nos folies !
J’attends ta prochaine version d’Ulysse, dans 2ans ou dans 10 ans ? Sera-t-il devenu tout gris ou tout noir cette fois-ci ou aura-t-il retrouvé sa blancheur immaculée ? Rendez-vous au prochain voyage.

J’ai aimé les rythmes des danseurs, les solos, les duos … et tu sorts de là avec les pas des danseurs dans la tête et tu n’as qu’une envie : danser.

Cher Ulysse à Chaillot

Jeudi 11 Octobre 2007

Cher Ulysse au Théâtre national de Chaillot du 12 au 17 octobre et à la MC2 de Grenoble du 23 au 26 octobre.

Pas tout à fait le même, pas tout à fait un autre. Voilà en substance qui pourrait résumer cet Ulysse version 2007, de retour à Chaillot pour six représentations seulement, avant Grenoble. Il faut aller voir cette danse suave, lumineuse et désespérée tour à tour. Le chorégraphe Jean-Claude Gallotta s'inspirait de l'épopée d'Homère pour une première version en 1981 qui écrivait, blanc sur blanc, la première page d'une nouvelle danse française. Nouvelle mouture en 1993, avant une troisième et dernière aujourd'hui même. Homère toujours là, Joyce aussi. Le chorégraphe a désormais accolé l'adjectif "Cher" à la pièce, comme pour montrer combien il y est attaché. Et nous aussi...


Création le 12 octobre 2007 au Théâtre National de Chaillot

Cher Ulysse,


Ta méditerranée a disparu.Ton ciel aujourd'hui est parcouru de nuages noir pétrole, tes dieux s'y entretuent. La blancheur des années 80, immaculée et espérante, s'est grisée. Il y a quelque chose de fané dans ton royaume.


Tu es devenu Bloom, le juif errant de Joyce. Tu es un Ulysse urbanisé dans les soubassementsde la grisaille d’Homère. Ton drapeau blanc est levé comme un dernier sourire, j’allais écrire soupir. Tu navigues en boucle, et sur les rives d'Ithaque on n'entend plus qu'un blues. Et pourtant tu restes encore tout près.Et pourtant tu nous regardes. Et pourtant tu nous redanses.

http://www.gallotta-danse.com

jeudi 8 novembre 2007

Deux places pour voir Grand Corps Malade au Palais de Congrès

Mercredi 10 Octobre Paris (75)

Palais de Congrès

2 places de la Porte Maillot à 20h30

Nous sommes rentrés dans la salle, installez confortablement dernière rang tout au fond. Nous étions au face à la scène et pile face au personnage de grand corps malade. On pourrait regarder à gauche, en face, à droite sans problème.

Tout le monde applaudir d’impatience. Est apparu le Comte de Bouderbalah, qui faisait la première partie de ce concert. Il fait partie de Jamel Comedy Club. La soirée commence très bien, on rigole bien et c’est super…C’est vrai que la première partie, elle déboité et de plus c’est super que ça soit un de membre de Jamel Comedy Club : Comte de Bouderbalah.

La première partie est finir et les gens attendent avec impatience la suite, la vedette. Ce soir là, il y avait 400 personnes. Attention, il y avait aussi une surprise, des vedettes dans la salle parmi nous. La lumière s’allume, est apparu Grand Corps Malade qui se baigne sur le bain des douches. Des beaux paroles, des musiques resplendissantes, des effets des lumières sympathiques et éblouissantes les unes des autres. C’était vraiment grandiose. Il utilise toute la scène et joue aussi avec ses musiciens.

D’un coup la lumière s’affaibli sur la scène et s’allume à gauche dans le public, on entend une voix : Kerry James. Puis à droite : Souleymane et ensuite au milieu : Diam’s…C’était vraiment un spectacle plein de magie. Je passée une très bonne soirée. De plus, cette salle m’a rappelé la grande salle de Cannes.

Dans le Slam, il y a du duo, des solos, de l’amour, de la haine, de la joie, de la tristesse, du mépris…

Grand Corps Malade à l’Atelier à Spectacle de Vernouillet (28)


Mardi 9 Octobre 2007

Sami Comte de Bouderbala + Grand Corps Malade

Ce soir, j’ai travaillé avec Grand Corps Malade. J’ai fais une rencontre très particulier, Samy, Comte de Bouderbalah. Comme il faisait la première partie de ce spectacle. Il a mangé après, assise à ma droite, à cette grande table vide, on a discuté pendant 20 bonnes minutes du métier de l’art et un peu de tout…Comme je ne pas pu voir le spectacle. Donc, il m’a invité au Palais de Congrès demain (Paris 75).Karim a son tour m’invite. Ils m’ont offert deux invites et si je voulais une troisième, il fallait que j’appelle.

Karim : « Alors au Palais de Congrès demain à 20h !

Grand Corps Malade, porte maillot, guichet invitation au nom de Karim pour Rose-Esther »

Samy : « Tu y arriveras, bonne chance et bonne continuation »

A demain à Paris.

Les citations de Le Comte de Bouderbala

"Je vais fêter la Saint-Valentin avec ma copine Britney. Britney Koulibali. J'hésite entre les offrir des fleurs... et des cheveux"

http://theatre-danse.fluctuat.net/le-comte-de-bouderbala.html

Chanson / Slam
Grand Corps Malade
"Midi 20"
Mardi 09 Octobre 2007 / 21h

« Album révélation de l'année » et « Artiste révélation scène de l'année » aux Victoires de la Musique 2007

Tout commence par des maux, ceux liés à un accident qui le laisse handicapé. Puis viennent les mots, ceux qui lui servent de thérapie…. Fabien Marsaud devient Grand Corps Malade et se lance, dès 2003, dans le slam, cette forme de poésie des temps moderne née au début des années 80 à Chicago. Il écrit ses premiers textes qu'il déclame dans des bars parisiens et après avoir animé de nombreuses soirées, devient le premier slammeur à s'imposer au grand public avec la sortie de son album Midi 20 qui connaît un grand succès.

Avec sensibilité et humour, il évoque sa ville, la vie, l'amour, aussi habile avec les mots qu'à l'aise sur la scène. Dépassant le cadre traditionnel du slam, normalement a capella, il déroule ses figures de style sur un léger fil musical, soulignant l'ambiance du texte. Et sa mélodie opère. Sa voix de basse, sertie de cordes, de percussions, d'un piano et d'une guitare, enveloppe et envoûte.


Récompensé à juste titre aux Victoires de la Musique, Grand Corps Malade a su créer un univers inspiré du béton et de la société actuelle sans tomber dans l'agressivité, le pathos ou la démagogie. ''Ce sont des textes qui peuvent toucher tout le monde parce que j'ai toujours écrit sur des thèmes du quotidien. J'aime dire que je fais de la poésie de proximité. J'utilise des mots de tous les jours pour parler de thèmes de tous les jours.''


Amoureux des mots, chercheur de phrases, tchatcheur urbain…un artiste pas tout à fait comme les autres à découvrir !

Sa poésie est vivante, vraie, imagée, moderne, simple, profonde. Du grand ART.


Liens web : http://www.grandcorpsmalade.com/accueil.htm

La soirée d’ouverture à l’Atelier à Spectacle de Vernouillet (28): Ma Valise

Vendredi 7 Septembre 2007

Super soirée, ambiance folle, un peu de musique dans tous les coins.

Raphaël est déjà partie en Haïti et ce soir là, il m’a dédicacé deux chansons sur scènes :

« Pour ma petite Rose qui vient de Haïti »

Ma Dam Sara


Et aussi le groupe m’a dédicacé l’album « Ma Valise : Bon Bagay ! »

Comme disait Raphael : « A plita Rose d’Haïti »


Ma Valise / Estelle Pelletier

Chanson-rock métissée

MA VALISE

Le groupe Ma Valise s'invente un style sans frontières entre rock, world et chanson. Ces quatre musiciens qui ont tout appris ensemble piochent dans de nombreuses cultures qui fraternisent dans un son chaleureux et voyageur : musiques d'Europe de l'Est, scène alternative française, chanson, dub, cumbia, hip hop... Chanteurs polyglottes (français, roumain, espagnol, anglais, créole), ils s'inspirent de musiques balkaniques, latines et autres métissages, animés par l'énergie du rock alternatif qui a bercé leur adolescence…

Ronan : batterie, trombone à coulisse, guitare, chant

Donatien : tuba, trombone à pistons, guitare, violon, chant

Raphaël : accordéon, trompette, chant

Gweltaz : contrebasse, basse, grosse caisse

http://www.mavalise.com/